Contexte et cadre juridique
La présidente de Mexico, Claudia Sheinbaum, a déposé une plainte auprès du bureau du procureur général de Mexico City. Dans ce ressort, le harcèlement sexuel est un délit et l’auteur a été remis au parquet chargé des délits sexuels pour les poursuites pénales.
Déroulement des faits et circonstances
Selon les informations publiques, l’incident s’est produit alors qu’elle saluait des sympathisants au cœur de la capitale, près du palais présidentiel. L’homme l’aurait touchée à la poitrine et aurait tenté de l’embrasser dans le cou.
Sans intervention immédiate du service de sécurité, l’individu aurait approché davantage, passant son bras autour de son épaule et touchant sa hanche et sa poitrine.
C’est seulement après l’intervention d’un membre du service de sécurité présidentiel que l’individu a été éloigné.
Images et couverture médiatique
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux et relayées par la presse montrent la présidente lors d’un déplacement public près du palais présidentiel, serrant des mains et posant pour des photos avec des sympathisants.
Malgré l’agression, Claudia Sheinbaum est restée courtoise et a accepté de prendre une photo avec l’individu avant de poursuivre son chemin, lui adressant une brève tape sur l’épaule.
Elle a ensuite déclaré avoir pris connaissance des vidéos et avoir compris ce qui s’était réellement passé.
Réflexions et perspectives législatives
La présidente a évoqué la nécessité d’examiner la législation sur le harcèlement sexuel à l’échelle nationale, estimant que ce type d’incident peut avoir des répercussions sur l’ensemble des femmes du pays.
